Estic llegint una novel·la de Marcel Proust: La fugitive.
Descriu les seves sensacions quan publica un article a Le Figaro: "Vous avez écrit un article dans Le Figaro? me dit la duchesse, faisant effort pour parler d'une chose qui ne l’intéressait pas."
A Venècia es troba sol quan la seva mare marxa. Es fa servir un refresc davant del Canal, mirant la posta del sol, i hi ha un músic que canta Sole Mio.
Chaque note que lançait la voix du chanteur avec une force et une ostentation presque musculaires venait me frapper en plain cœur. Quand la phrase était consommée en bas et que le morceau semblé fini, le chanteur n'en avait pas assez et reprenait en haut, comme si il avait besoin de proclamer, une fois de plus, ma solitude et mon désespoir.
Encara ara m'agrada, quan vaig a l'Ateneu, agafar el Figaro del dia i llegir-lo.